PROCOMM Océan Indien vient d’assurer la cession du DCP à Saint-Pierre. L’affaire avait tout pour plaire. Elle a séduit un ingénieur du son en reconversion !

Idéalement situé sur le front de mer de Saint-Pierre, le restaurant DCP jouit d’une belle réputation et d’un solide portefeuille clientèle bâti depuis plusieurs années. Lorsque le gérant a décidé de céder son restaurant, c’est tout naturellement vers PROCOMM Océan Indien qu’il s’est tourné.

« L’affaire était saine », explique Emmanuel PERAN, gérant et associé de PROCOMM Océan Indien « La décision de vendre reposait sur des raisons personnelles qui n’avaient aucun lien avec la rentabilité du restaurant ».

PROCOMM Océan Indien se met alors en quête d’un repreneur… et fait tout de suite le rapprochement avec une personne venue à l’agence quelques semaines auparavant dans l’intention justement de racheter un restaurant.

« Cette personne avait un profil assez atypique : c’était un ingénieur du son, passionné de restauration, en démarche de reconversion », reprend Emmanuel PERAN. « Evidemment, nous n’allions pas le lâcher comme ça dans la nature. Il fallait lui trouver une affaire sur mesure, qui sécurise ses premiers pas dans la profession. La franchise DCP nous a immédiatement semblé la meilleure solution ».

Une enseigne sous franchise offre en effet de multiples avantages lorsqu’on veut « changer de vie » sans pour autant connaître les rouages du métier. Concept, mobilier, formation, marketing et communication : tout est prévu par le franchiseur ! Et même la carte, puisque toutes les enseignes proposent les mêmes plats, calibrés au centigramme près. Quant aux salariés, pas besoin d’en changer si tout fonctionne bien ! Ce qui était le cas ici, avec une équipe parfaitement rodée.


« Pour le repreneur, c’est un confort inouï », conclue le chargé d’affaires associé de PROCOMM Océan Indien. « C’est comme enfiler des chaussons qui ont l’habitude de marcher ! Bien sûr, la formule ne peut pas convenir à tout le monde. Si vous êtes dans une démarche créative et que vous voulez faire une cuisine qui vous ressemble, il ne faut pas aller vers la franchise. D’autant qu’il y a aussi quelques contraintes. Après l’achat, le repreneur a du faire quinze jours de travaux pour mettre l’établissement en accord avec la nouvelle charte graphique du franchiseur. Mais cela a été pris en compte quand on a fixé le prix de vente… »

Après la signature, le franchiseur a accompagné le nouveau gérant pour ses premiers pas dans l’activité : profil clientèle, rendez-vous avec les fournisseurs… Comme d’habitude, PROCOMM Océan Indien a pour sa part apporté une aide essentielle au démarrage grâce à son réseau professionnel : juriste et expert-comptable, en particulier. Preuve : le nouveau repreneur a fait l’acquisition de 100% des parts sociales de la société afin de pouvoir, immédiatement, démarrer sa nouvelle activité.

PROCOMM Océan Indien réalise la vente du restaurant « Le DCP »